jeudi 31 mars 2011

MilkyGirlz: le site communautaire des meufs bonnes (et pas que)

Je sais même plus comment je suis tombée sur ce site. Ca devait être un dimanche, je devais traîner sur des forums à fort caractère féminin, et ce lien a du me sauter aux yeux comme on se jette sur un DoMac un lendemain de cuite.
Enfin bref, je me suis inscrite au forum, et j'y ai trouvé une bien belle communauté. Et je parle pas là que de la gueule de bonnasse de la plupart des inscrits, nonon.

MilkyGirlz est un site qui se rapproche beaucoup d'un alt-porn, sauf qu'en fait trop pas. C'est basé sur le même principe que SuicideGirls: tu t'inscris, tu choisis d'être membre, photographe, ou modèle (ou illustrateur/rice), si tu veux pas être un simple membre, tu passes sous le jugement des autres gens du forum, et ensuite t'as la belle vie et la joie incommensurable de te balader à qui mieux mieux dans tout le site. Si c'est pas magnifique? 
Les gens y sont gentils et juste ce qu'il faut de kikoo, et en plus: trop la fête! Y'a pas que des filles!
Une seule condition à remplir: être majeur

Si vous voulez en savoir plus, le site est par là, et ici, y'a toutes les explications.
(En plus, le logo c'est une mignonne fraise au lait, que demande le peuple? )


Vous pouvez aussi retrouver MilkyGirlz sur:


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Un monde fou

Vous pouvez, en ce moment, et ce jusqu'au 25 avril, profiter de l'exposition d'Amandine Urruty, à la librairie La Mauvaise Réputation,  à l'occasion de la sortie de son livre Robinet d'Amour publié aux Requins Marteaux.

On a pu se faufiler, lors du vernissage/séance de dédicace, à travers la "foule" présente à la librairie jeudi dernier pour prendre quelques photos et essayer de voir un peu ce qui s'y tramait. 
Comme souvent, lors de ce genre de sauterie, la claustrophobie m'a vite gagnée et je me suis rapidos extirpée de là pour sentir l'air sur mon visage. Ceci ne m'a aucunement empêché d'apprécier la qualité du travail d'Amandine. 
L'exposition Solo Chiot, c'est un monde barré, aux couleurs chatoyantes et enfantines. Un véritable bestiaire chargé de créatures expressives aux grands yeux ahuris qui ne cessent de nous fixer, comme surpris de nous trouver là. Comme si c'était notre monde plutôt que le leur qui avait quelque chose de fascinant et d'effrayant. Au premier coup d'œil, on s'attarde sur les très chouettes animaux-créatures, mais en y regardant de plus près, la foule de détails les entourant est saisissante.  Ici, ça chouine, ça coule, ça renifle, ça s'emboîte, ça s'agrippe et tout ça dans une harmonie de textures et de couleurs fantasmagoriques. 
Bref, je ne vais pas vous barber d'entrée mais n'hésitez pas à aller jeter un coup d'œil, ça vaut largement le détour, en plus, c'est toujours une bonne excuse pour aller fouiner dans les rayonnages aguicheurs et tailler le bout de gras avec le libraire.

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California dream



C'est le printemps, on a envie de guincher, de terrasses avec les copains, de soirées à la fraîche.
Les très bons résidents du Low End Theory à Los Angeles sont là pour vous accompagner. Leur site propose des podcast de leurs mix léchés et parfaitement orchestrés. N'hésitez pas.
On commence le mois d'avril en avance avec leur nouveau teaser. Nice.

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mercredi 30 mars 2011

Pokemon PSA: Poké-rights... not Poké-fights.



"It takes a lot of balls to be a good pokemon trainer... but it takes a masterballs to do a right thing"
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100 ans de tournage

Ce site recense tous les lieux où a été tourné un film depuis ces 100 dernières années.
Enfin presque.
C'est sous forme de Google Map, c'est fait par le site Boxofficequant, c'est trop du fun, mais quand même, vers chez nous, y'a pas grand chose ...

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mardi 29 mars 2011

Old School gamerzzzz

Tu es nostalgique de la Gameboy mais pas assez geek pour te choper un émulateur? Pas de problème, ce site là est fait pour toi! 
Zelda, Mario, Pokémons, Final Fantasy ... C'est un vrai nid à trésors qui se cache derrière cette adresse! Les jeux ne sont pas tous bons, et il faut s'inscrire pour pouvoir sauvegarder une partie. Oh, et c'est en anglais. Mais tu vas pas commencer à me pomper le sirop avec ça hein, fallait suivre les cours au collège! (Ceci dit, qui a déjà lu toutes les cinématiques de jeu vidéo? Hein? Franchement? On était bien trop pressés de pouvoir casser du monstre pour s'attarder là dessus. Si ça se trouve, tu savais même pas lire.)
Donc voilà, si tu te fais chier au taf, et que tu veux te replonger dans cet univers ultra pixel aux mélodies MIDI qui envoient du sale, y'a largement de quoi te faire plaisir!




En voilà un Cosplay qu'il est beau!



Mon regret: qu'il n'y ait pas Mario Land 2...

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Nouvelle liste de lecture

Je pense que pas mal d'entre vous étiez au courant mais sait-on jamais, y'a peut être des retardataires, comme moi, qui ne connaissaient pas ce cool site où on peut trouver gratos, des morceaux originaux ou remixés, d'artistes sympathiques mais résolument à tendance pop ou éléctro, je préfère prévenir. En deux temps trois mouvements on a moyen de se faire une petite nouveauté et c'est cadeau.

Enjoy!
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lundi 28 mars 2011

dimanche 27 mars 2011

A droite du but, sur le banc de touche...

Yo, en ouverture, je tiens tout d'abord à souhaiter la bienvenue à tou(te)s celles et ceux qui auront le courage et/ou la gentillesse de lire les lignes suivantes. Ensuite, abordons d'entrée le sujet sensible du « pourquoi? » de la rubrique sportive dans la ligne éditoriale d'un blog « féminin ». Pour vous faire bavasser bande d'andouilles, cela me paraît évident. Le Footix que je suis est la personne adéquate pour ce genre de chroniques, du moins j'espère vous en convaincre.
N'attendons pas plus longtemps pour développer l'actualité brûlante qui passionne nos compatriotes, le dernier match de l'équipe masculine de France de football, qui a eu lieu vendredi dernier au Luxembourg, dans l'enceinte du stade Josy Barthel, sorte de terrain vague institutionnel, où les supporters chantent « Bienvenue à Galaswinda » pour mettre l'ambiance. N'ayant vu que la première mi-temps pour cause de soirée d'anniversaire, je vous passerai la fastidieuse analyse footballistique qui n'intéressera personne, tant ces 45 minutes étaient purgatives.
Intéressons nous plutôt au seul aspect captivant pour vous mesdemoiselles, ce nouveau maillot officiel à la fois sobre et élégant désigné par NIQUE. Nous, mâles, avons pu assister à une campagne marketing époustouflante de la part de l'équipementier, qui a procurés frissons et semblants de retours de ferveurs patriotiques en surfant sur le slogan « Vive le football libre ». Oui mesdames, terminées les larmes de rage et de colère envers le sélectionneur et les mauvaises performances sur le terrain de nos onze camarades, finies les railleries de nos amis étrangers, oubliées les incartades comportementales de nos joueurs sélectionnés, désormais « Le football français entre dans une nouvelle ère. Il faut se lâcher. Laisser l'inspiration et la créativité parler sur le terrain. Vive Le Football Libre » dixit la multinationale. Youpi. Non seulement on possède le contrat d'équipementier le plus cher de toute l'Histoire du ballon rond pour 42,6 M€ par an, mais en plus, on va pouvoir se la péter grave en polo et en marinière. Oui chers lectrices, vos chers et tendres pourront désormais parader à votre bras habillés avec goût, tout en affichant cette dévotion au Onze du Coq. Même le plus demeuré des hooligans pourra postuler à l'attribution du Prix Nobel de Littérature, si si croyez-moi, vous verrez.
Bien, je ne m'attarderai pas plus longtemps, ce billet n'est qu'un avant-goût de ce qui vous attend, si votre fidélité à ce blog perdure, surtout que mon président Jean-Claude Dussier est au CFC au moment même où j'écris ces inepties, heureusement que le disque dur de la Freebox existe.
On se retrouve prochainement lorsque l'actualité sportive sera un peu plus exaltante, dès le week-end prochain avec le début du sprint final dans le championnat de France de Ligue 1, ça ne vous parle peut-être pas encore, soyez rassurés, je vous expliquerai.
N'hésitez pas à envoyer vos remarques, commentaires, insultes, déclarations d'amour, menaces... Je suis preneur.

PS: Je désirais également parler de cette aberration qu'est la fin de saison de ski 2010/2011, avec l'annulation des dernières épreuves à cause d'un temps merdique (en même temps aller en Suisse à la montagne mi-mars et espérer avoir un grand soleil, faut vraiment être mongol), mais je me suis dit que tout le monde s'en foutait. Bonne soirée.


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Et toi, t'as déjà vu une légende?



Mulatu Astatke, connu essentiellement du grand public pour sa collaboration sur la B.O du Broken Flowers de Jarmusch, avec le tubesque Yegelle Tezeta, est surtout le musicien éthiopien qui a révolutionné le jazz à tendance ethnique avec la création de l’éthno-jazz. Rien que ça.
Mille fois samplé, marque moderne du succès, le papy au xylophone a ainsi joué avec les plus grands, Duke Ellington ou encore Mahmud Ahmed, et a signé en 2005 chez Stut Records, label anglais spécialisé dans la réédition de galettes soul, funk et afro jazz.

Pour ma part, le jazz est un monde fermé, hermétique, auquel je n’entrave que peu de choses. J’ai découvert Mulatu avec le cadeau de noël de mon room mate, un des premiers albums du Monsieur en vinyle. À ma grande surprise, j’ai trouvé ça super accessible et pas barbant du tout. Tout ça pour dire que j’étais toute excitée contente d’apprendre que cette légende sans âge venait poser son xylo dans ma ville.
Les concerts du dimanche soir, pour peu qu’on ait festoyé la veille, c’est salvateur. On y va à la cool, un petit verre en main, sans avoir l’impression qu’après Ça Cartoon, c’est dodo parce que demain y’a école.
Comme vous l’aurez sûrement deviné, je ne suis en aucun cas coutumière de ce genre de concert où le public se met à applaudir à des moments impromptus. Il paraît que c’est à chaque fin de chorus, traduction : à chaque fois qu’un des musiciens fait un truc foufou, un solo si vous préférez.
Me voilà au premier rang, prête à en découdre avec cette légende vivante. J’ai aussi un autre a priori, la peur que le bonhomme, trop âgé, se contente de deux ou trois apparitions et laisse tout le boulot à son backing band, comme ça se fait souvent
Ils sont donc sept sur scène, une section trompette-saxo, violoncelle-contrebasse et percu avec un batteur et un percussionniste polyvalent. Pas de quartier, ils nous entraînent direct avec un tube qui nous fait tout de suite nous déhancher (tranquille hein ça reste du jazz) et fait naître un sourire béat sur notre visage fatigué. Ce sourire, il y restera une bonne heure et demie, où Mulatu, qui ne se reposera que le temps d’un morceau (ouf…), nous régale avec des compositions de ses débuts, ponctuées de solos de chacun de ses musiciens. Pour le coup, en ce qui concerne les applaudissements, il m’a suffi de suivre le mouvement et c’était si beau, si magique, non je n’exagère pas, que ça venait tout seul. On se laisse entraîner dans un monde où le son du xylophone nous porte gentiment. Mulatu, lui, est tout simplement le grand père qu’on aimerait tous avoir, une sorte de Bill Cosby qui chantonne pendant qu’il joue de son instrument qu’on imagine créé pour lui. Il nous parle, nous remercie, nous explique pourquoi ce morceau et ne cesse de big-uper son groupe. Groupe qui s’éclate sur scène, ça rigole, ça danse, ça se vanne et tout ça dans une bonne humeur communicative. Il dédie même un morceau à « nos frères japonais », qui se trouve être une nouvelle composition. On sent clairement la différence avec le reste, où le côté trad. laisse la place à un truc plus sériel. Sur la fin, les musiciens se lâchent, le contrebassiste nous offre un solo à couper le souffle, proche d’une musique contemporaine complètement barrée.
Un dernier rappel et puis s’en va.
On sort de là le sourire toujours aux lèvres, des étoiles plein les yeux, avec la satisfaction d’avoir applaudit aux bons moments.

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Tsunami

Le collectif Café Salé, communauté créative, a mis en place le projet Tsunami pour aider les sinistrés du Japon. On peut y voir les participations des artistes, qui seront vendus aux enchères à la Galerie Arludik à Paris. Vous pouvez juste regarder, ou participer si vous vous sentez l'âme d'un artiste. C'est bon pour les yeux et ça fait plaisir de voir de si jolies choses malgré le bordel que c'est. Donc allez-y!
D'autres projets sont aussi en route, notamment la création d'un recueil de ces oeuvres, certainement sous la même forme que les autres artbooks de la communauté, et une exposition itinérante. Mais pour ça, on vous tiendra au jus! :D


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Skinjackin, les pirates épidermiques





Car jacking : piraterie routière, vol de véhicule avec menace sur le conducteur. Remplace ici « car » par « skin » et tu as tout compris.
Pour tout un chacun, le body painting reste un truc de beaufs, souvent le plus sûr moyen de voir des meufs à poil peinturlurées à la mode arbre, nuit étoilée ou elfe de la forêt.
Oublie tout ça jeune, un collectif, aux couleurs chatoyantes et aux jeux de mots percutants, vient recouvrir à grands coups de Posca ® nos préjugés. Ce crew de graffeurs, graphistes, dessinateurs touche-à-tout, ayant des antennes à Paris, Montréal et Bordeaux, transforme n’importe laquelle de tes soirées en grand n’importe quoi unique et coloré, où la plus bonne de tes copines se retrouvera avec un joli lettrage « biffle » et toi qui pourras arborer fièrement un jeu de mot imagé te permettant de pécho à coup sûr.
Le principe est simple, les pirates débarquent et posent leurs feutres dans toute manifestation pouvant se financer l’opération (c’est largement abordable et faut bien se payer les feutres garçon) et prennent en otage ta peau pour y dessiner ce que bon leur semble sans que tu puisses mot dire. Aucune suggestion ne sera tolérée, on n’est pas chez le tatoueur du coin alors remballe direct ton idée de dauphin sur fond de soleil couchant ou ton tribal dernier cri.
Les mecs sont pas bégueules et offrent la possibilité à leurs copains artistes de venir s’essayer à l’exercice. Ça permet aux chefs de se reposer un peu et aux novices de tester leur sens de l’humour, leur esprit de synthèse et la vitesse d’exécution en temps réel.
Ils se retrouvent aussi régulièrement autour d’un même corps, pour se laisser aller à le recouvrir sur l’idée d’un thème commun, souvent un événement du calendrier qui s’y prête comme la Saint Valentin, Halloween, ou d’un fait d’actualité.


SKINJACKIN MASTERPIECE #5 - body paint tattoo H1N1 par SKINJACKIN

Pour GWHF, et parce que vous êtes les meilleurs, Vinvin, un des chefs de l’équipée (sauvage), nous livre ici en exclu, une illustration complètement skinjackinesque.



Si tu les aperçois, n’hésite pas, et paye ton verre, faut pas croire, mais c’est fatigant tous ces petits corps offerts aux corsaires.


Plus de Skinjackin ici et .

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Le commencement du départ

Mon petit,

Tu n'es pas arrivé ici par hasard. Tout acte a un but déterminé dans l'espace temporel de la vie du monde qui nous entoure. Je te souhaite la bienvenue au pays des founes enchantées ... excuse moi, je suis un peu l' "Oncle Sale" des alentours.

Tu es avide d'apprendre, tu as soif de culture, ta curiosité est telle que tu n'as pu te retenir plus longtemps, tu es féru de jeux de mots débiles et d'argot mal employé, ou ta mère t'a forcé. Toujours est il que tu es ici, à présent, en train de lire ces lignes, et c'est avec une joie sans bornes que je te souhaite la bienvenue parmi nous.

"Mais qu'est-ce que le point?" que tu te demandes derrière ton ordi. "Où est-ce que cette vieille tante moustachue en puissance veut en venir?" J'y arrive. 

Tu es à un âge où se développent ta personnalité et tes glandes sudoripares. Il te faut donc une base, un tremplin, une rampe sur laquelle t'appuyer pour accompagner tes pas. C'est ici que nous intervenons. Nous sommes ici pour partager ce qui nous entoure, ce qui nous touche, ce qui nous parle, histoire de se fendre du don d'un peu de nos kiffes et nos trouvailles. Ca va rarement être utile, et très peu sérieux, mais c'est pas le but. On est sans prétention, on aime les découvertes, on touche un peu à tout, et à toi aussi (sauf si t'es mineur) . En bref, notre plaisir, c'est le plaisir d'offrir. Donc tends la main, et savoure. S'il te plaît.

"On n'est pas là pour se la faire briller."



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Le commencement du départ

Bienvenue mon copain, tu es ici un peu chez toi, enfin chez nous mais ça on s'en fout. 
Ce qui est important c'est que chez nous c'est un peu le mercredi chez papy et mamie, tu peux manger la confiture avec les doigts devant la télé et sauter sur le lit à qui mieux mieux.
On va pas parler de nos fringues, même si elles sont pas mal, ni de nos vies, même si elles sont plutôt chouettes, mais des petites choses qui nous entourent, nous font golri ou nous accrochent la rétine.
Pas de pompe à reluire pour qui ou quoi que ce soit, on est pas là pour énumérer les sorties tellement super qu'on fait mais plutôt partager, donner envie de se bouger le mou et vous montrer des gens qui se le bougent plutôt bien.
Toute contribution à ce blog est la bienvenue, vous pourrez vous régaler par la suite de special guest, et de surprises, le tout est que chacun y prenne du plaisir. Le principe est simple, il suffit juste de se référer à ce génial groupe d'un autre siècle qu' est Chagrin d'Amour et qui nous chantait, cette idée bourrée de philosophitude, Chacun fait fait fait, c'qui lui plaît plaît plaît
On vous enquiquinera régulièrement avec des reports de concerts, de vernissages ou de tout autre manifestation à la cool où on peut voir/boire/..., ainsi que des petits coups de flash sur des gens qui nous scotchent. Mais aussi, oserais-je dire surtout, des conneries parce que comme dit précédemment, "on est pas là pour se la faire briller". 

Un  special big-up à Migwel, pour son aide et ses conseils, mais un big-up aussi aux copains pour le poussage de cul.

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